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sérum pour chute de cheveux saisonnière

Chute de cheveux saisonnière : comment la prévenir et la limiter ?

La chute de cheveux saisonnière est un phénomène naturel souvent observé en automne. Découvrez ses causes, sa durée et les solutions efficaces pour la prévenir et favoriser la repousse.

Qu’est-ce que la chute de cheveux saisonnière et comment la limiter ?

La chute de cheveux saisonnière correspond à une perte temporaire, plus marquée à l’automne et parfois au printemps, liée au cycle naturel du cheveu. Elle peut impressionner, mais elle reste généralement bénigne. Voici l’essentiel à retenir :

  • Elle survient surtout lors des changements de saison, quand davantage de cheveux entrent en phase de repos.
  • Sa durée moyenne est de 6 à 8 semaines, rarement plus de 3 mois.
  • Une alimentation équilibrée (fer, zinc, oméga-3, vitamines) aide à limiter la perte.
  • Des gestes simples – shampoing doux, massage du cuir chevelu, réduction du stress – favorisent la repousse.
  • Elle se distingue d’une chute pathologique car elle est diffuse, temporaire et suivie de repousse.

 

 

La chute de cheveux saisonnière inquiète souvent, surtout lorsque l’on observe davantage de mèches sur la brosse ou dans la douche à l’automne. Ce phénomène, parfois marqué également au printemps, reste pourtant naturel. 

Il s’explique par le cycle capillaire, qui connaît une phase de repos avant le renouvellement de la fibre. Comprendre ce processus permet d’éviter les inquiétudes inutiles et d’adopter les bons gestes pour limiter l’impact.

Dans les lignes qui suivent, je vous propose un regard approfondi sur les causes, la durée habituelle de cette perte et les moyens concrets de la prévenir.

 

Comprendre la chute de cheveux saisonnière

Un phénomène naturel lié au cycle capillaire

Chaque cheveu suit un cycle de vie bien défini. Trois phases se succèdent :

  • la phase anagène, période de croissance active qui peut durer plusieurs années ;
  • la phase catagène, courte transition où le follicule se prépare à se reposer ;
  • la phase télogène, dite de repos, au terme de laquelle le cheveu finit par tomber.

En moyenne, nous perdons entre 50 et 100 cheveux par jour, un chiffre qui peut doubler lors d’une chute de cheveux saisonnière. Ce n’est pas un signe pathologique en soi.

Les follicules pileux continuent de fonctionner normalement et de produire de nouveaux cheveux. Ce renouvellement est la preuve d’une activité biologique saine, même si son intensité peut surprendre.

Pourquoi une perte de cheveux surtout en automne ?

La perte capillaire est plus marquée à l’automne, conséquence directe des changements environnementaux. L’été fragilise la fibre : soleil, sel, chlore et chaleur accélèrent l’usure du cheveu.

À cela s’ajoute la diminution de la lumière, qui influence la production de mélatonine et modifie certains équilibres hormonaux. Ces facteurs combinés déclenchent une entrée plus massive de cheveux en phase télogène.

Des travaux publiés dans le Journal of Investigative Dermatology confirment ce pic automnal, observé chez de nombreux individus. On parle alors d’alopécie saisonnière, à distinguer de l’alopécie androgénétique, de nature pathologique et progressive.

La première est passagère et régresse d’elle-même, tandis que la seconde nécessite une prise en charge médicale.

Ainsi, reconnaître la dimension cyclique de cette perte est essentiel : elle traduit davantage un phénomène de régénération qu’une véritable menace pour la chevelure.

 

sérum pour chute de cheveux saisonniere

 

Les causes principales de la chute de cheveux saisonnière

Facteurs biologiques et hormonaux

Le corps suit un rythme biologique lié à la lumière. Quand la photopériode diminue, la sécrétion de mélatonine se réajuste et davantage de follicules entrent en phase de repos.

Ce glissement augmente le nombre de cheveux en phase télogène, d’où une perte plus visible.

Le stress et la fatigue renforcent ce mouvement : le cortisol perturbe le cycle capillaire et précipite une chute diffuse.

À mon sens, la première prévention consiste à respecter le sommeil, à gérer les charges mentales et à maintenir une activité physique régulière, parce que ces leviers stabilisent les hormones du stress et soutiennent l’homéostasie du cuir chevelu.

Carences et alimentation et l'impact sur une chute de cheveux saisonnière

Certaines carences objectivées majorent la chute saisonnière : fer, zinc, vitamine D. La biotine (vitamine B8) n’apporte un bénéfice que si un déficit est prouvé. Mieux vaut viser une alimentation équilibrée et densément nutritive :

  • fruits et légumes variés pour les antioxydants ;
  • céréales complètes et légumineuses pour les fibres et les minéraux ;
  • noix et graines pour les acides gras et le zinc ;
  • poissons gras pour les oméga-3 ;
  • viande maigre ou alternatives pour le fer héminique et les acides aminés essentiels.
    Je recommande de confirmer toute suspicion de carence par un bilan avant d’envisager une supplémentation ciblée, afin d’éviter des cures inutiles.

Facteurs externes d'une chute de cheveux ponctuelle

L’été fragilise la fibre capillaire : UV, sel, chlore et chaleur altèrent la cuticule et oxydent les pigments. Le cheveu devient plus poreux, perd de l’éclat et casse plus facilement, ce qui accentue la chute observée à l’entrée de l’automne.

À cela s’ajoute l’effet rentrée : reprise du rythme, déplacements, charge mentale. Ce cocktail de micro-stress favorise la mise en télogène.

Des gestes simples limitent l’effet cisaillement : lavage doux, rinçage après baignade, protection thermique mesurée, séchage tiède.

 

cause chute de cheveux saisonniere

 

Combien de temps dure la chute de cheveux saisonnière ?

La chute de cheveux saisonnière dure le plus souvent six à huit semaines ; chez certains, elle peut s’étendre jusqu’à trois mois avant de se résorber spontanément.

On parle de variation normale tant que la densité se reconstitue et que l’on observe une repousse courte à la base des mèches.

En revanche, un avis médical s’impose si la chute est intense ou localisée, si elle dépasse trois mois, si la raie s’élargit nettement, ou en présence de démangeaisons, douleurs du cuir chevelu, contexte post-partum, pathologie thyroïdienne ou traitement récent.

 

Comment prévenir et limiter la chute de cheveux saisonnière

La chute de cheveux saisonnière ne peut pas être évitée totalement, car elle répond à un rythme biologique propre à chaque individu.

En revanche, il est possible d’en atténuer l’intensité grâce à des gestes simples, une hygiène de vie soignée et des soins adaptés.

J’observe souvent que les personnes qui anticipent ces périodes en adoptant une routine préventive traversent mieux ces épisodes, avec une perte moins marquée et une repousse plus rapide des cheveux.

Gestes et hygiène de vie

Le premier réflexe consiste à adopter une routine capillaire respectueuse :

  • privilégier un shampoing doux, sans sulfates agressifs, pour ne pas irriter le cuir chevelu ;
  • limiter la chaleur excessive (sèche-cheveux trop chaud, lissage répété), qui fragilise la cuticule et accentue la casse ;
  • pratiquer régulièrement le massage du cuir chevelu, quelques minutes par jour, afin de stimuler la circulation sanguine et d’oxygéner les follicules.

À cela s’ajoutent des piliers de santé souvent sous-estimés : un sommeil réparateur, une activité physique régulière et une gestion du stress. Je constate que ces paramètres jouent un rôle majeur dans l’équilibre hormonal, et donc dans la stabilité du cycle capillaire.

Nutrition et compléments alimentaires pour limiter la chute

L’alimentation est un levier puissant. Les cheveux, faits essentiellement de kératine, ont besoin d’acides aminés, de vitamines et de minéraux pour se renouveler. Les aliments à privilégier sont :

  • les fruits et légumes riches en antioxydants ;
  • les céréales complètes et légumineuses, sources de zinc et de fer ;
  • les poissons gras et les noix, pour les oméga-3 ;
  • les viandes maigres, apportant un fer bien assimilé.

En prévention, une cure de compléments alimentaires peut être pertinente, notamment à base de levure de bière, de vitamines du groupe B et de zinc.

Ces cures sont particulièrement efficaces lorsqu’elles s’étendent sur environ trois mois, en phase avec la durée d’un cycle capillaire.

 

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Soins capillaires adaptés à une chute de cheveux saisonnière

Les soins appliqués localement aident à renforcer la fibre. Les sérums capillaires et les huiles essentielles comme le romarin ou le ricin sont réputés pour stimuler la repousse.

Les traitements antichute doux, sans silicones ni sulfates, permettent de respecter la physiologie du cuir chevelu. Enfin, maintenir une bonne hydratation de la fibre capillaire contribue à limiter la casse et à préserver l’éclat de la chevelure.

 

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Stimuler la repousse et protéger les cheveux

Prévenir la perte ne suffit pas, il faut aussi accompagner la repousse des cheveux. Les massages réguliers, une hygiène de vie équilibrée et les cures ciblées favorisent le retour rapide en phase de croissance.

Dans certains cas, une cure pousse de cheveux peut apporter un soutien supplémentaire.

Cependant, si la chute devient trop importante, persiste au-delà de trois mois ou s’accompagne de zones clairsemées, il est recommandé de consulter un dermatologue. Ce dernier pourra proposer des traitements médicaux adaptés, et, dans des situations plus avancées, discuter d’options comme la greffe de cheveux.

En résumé, la chute saisonnière doit être considérée comme un phénomène naturel, mais qu’il est possible de limiter et d’encadrer grâce à une approche globale mêlant soins, alimentation et hygiène de vie.

 

La chute de cheveux saisonnière est un phénomène naturel, lié au rythme biologique et aux changements environnementaux. Elle reste, dans la majorité des cas, temporaire et réversible. Comprendre son origine permet de l’aborder avec plus de sérénité.

La clé réside dans une approche globale : adopter une routine capillaire douce, soigner son alimentation, veiller à une bonne hygiène de vie, et recourir, lorsque cela est pertinent, à des compléments alimentaires ciblés.

En associant ces leviers, il devient possible de limiter la perte et de favoriser la repousse, tout en renforçant la santé générale de la chevelure.

Prenez soin de vos cheveux à chaque saison avec une routine adaptée, pour préserver leur vitalité tout au long de l’année.

 

FAQ sur la chute de cheveux saisonnière

Quelle est la cause de la perte de cheveux saisonnière ?


Elle résulte principalement du cycle capillaire : à l’automne et parfois au printemps, davantage de cheveux entrent en phase télogène (repos), ce qui entraîne une chute plus visible. Les variations de lumière, le stress et la fatigue accentuent ce phénomène.

Combien de temps dure la chute de cheveux saisonnière ?


Elle s’étend généralement sur 6 à 8 semaines, parfois jusqu’à 3 mois. Au-delà, il peut être utile de consulter pour éliminer une cause pathologique.

Quelle alimentation pour stopper la chute de cheveux ?


Une alimentation équilibrée est essentielle : fruits et légumes, céréales complètes, légumineuses, poissons gras, viandes maigres, noix et graines. Ces aliments apportent les vitamines et minéraux nécessaires (fer, zinc, oméga-3, vitamines B) à la santé des cheveux.

Quel complément alimentaire est le plus efficace contre la chute de cheveux ?


Les compléments les plus étudiés sont la levure de bière, le zinc et les vitamines du groupe B. Leur efficacité est renforcée lorsqu’ils sont pris sous forme de cures de 3 mois, correspondant à un cycle capillaire.

Comment distinguer chute saisonnière et chute pathologique ?


La chute saisonnière est diffuse et transitoire, avec une repousse visible de petits cheveux neufs. La chute pathologique (androgénétique, hormonale, liée à une maladie ou un traitement) est progressive, localisée et durable. Dans ce cas, un avis médical s’impose.

Comment prévenir la chute de cheveux saisonnière ?

La prévention repose sur une approche globale. Adopter une alimentation équilibrée, riche en vitamines et minéraux, soutient la santé du cheveu. Une cure pousse de cheveux de trois mois, associée à des soins réguliers, aide à renforcer la fibre et à soutenir la phase anagène (croissance). Limiter les agressions extérieures et utiliser des produits capillaires adaptés permet de ralentir l’entrée en phase télogène.

Comment limiter la perte de cheveux en automne ?

Pour limiter la perte liée à la chute de cheveux saisonnière, privilégiez une routine capillaire douce : shampoing respectueux, massage du cuir chevelu pour stimuler la circulation, et soins capillaires hydratants. Une alimentation riche en vitamines et minéraux est essentielle, car elle nourrit le follicule de l’intérieur. En automne, il est aussi recommandé d’éviter les excès de chaleur et de soigner son cuir chevelu pour garder de beaux cheveux en automne.

Quels sont les meilleurs traitements anti-chute ?

Un bon traitement anti-chute associe des gestes simples et des produits ciblés :

  • un shampoing doux, non agressif pour le cuir chevelu ;
  • des compléments alimentaires (zinc, fer, vitamines B, levure de bière) ;
  • des huiles essentielles comme le romarin, qui favorisent la microcirculation ;
  • des produits naturels et des soins capillaires sans silicones.

En cas de perte persistante, un dermatologue pourra envisager des solutions médicales, voire une greffe de cheveux dans les cas avancés.

Comment gérer la chute de cheveux liée au stress ?

Le stress a un impact direct sur les cheveux car il perturbe le cycle pilaire. Pour gérer le stress, il est crucial d’adopter une bonne hygiène de vie : sommeil suffisant, activité physique régulière, respiration et relaxation. Une alimentation équilibrée soutient la régulation hormonale et la santé capillaire. Les massages stimulent la circulation sanguine, favorisant la phase de croissance du cheveu. Comprendre le lien entre stress et cheveux permet d’agir plus tôt et d’éviter une aggravation de la chute.

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