La mémoire des voyages, l’âme de la Bretagne

Madame d’Alexis : l’héritage d’une globe‑trotteuse au service de la beauté capillaire

Chez Madame d’Alexis, quatre serments guident chaque formulation. La transparence, d’abord : nous affichons le pourcentage exact d’origine naturelle et retraçons chaque ingrédient jusqu’au sillon qui l’a vu éclore.

Grâce à une matrice olfactive intelligente qui réagit au pH de votre peau, la fragrance évolue subtilement et devient unique à chaque utilisateur, une métamorphose intime qui transforme chaque lavage en véritable rituel de beauté.

Une aventurière avant‑gardiste

Épouse d’ambassadeur dans les années folles, Madame d’Alexis fendait les routes en cabriolet sous le soleil de Martinique, traversait dix pays en un mois sans jamais froisser le panama posé sur ses cheveux impeccables. On la disait avant‑gardiste : elle parlait plusieurs langues, collectionnait les rites de beauté comme d’autres collectionnent les timbres, et transformait chaque escale diplomatique en quête de textures, de parfums, de secrets capillaires.

Tout commence dans les années 1920. Elle franchit les océans comme on tourne les pages d’un atlas vivant : à Zanzibar, elle découvre un baume d’huile de coco battu au mortier ; à Kyoto, une poudre de riz et de pétales broyés que les maiko glissent dans leurs chignons ; sur les hauts plateaux andins, une eau florale distillée à même les pétales de rose musquée. Partout, elle échange, inhale, note, consigne. Ses carnets, épais de secrets capillaires et d’arômes lointains, deviendront son trésor.

Carnets secrets, transmission familiale

Avant de devenir le nom inscrit sur nos flacons, Madame d’Alexis était la grand‑mère de l’une de nos fondatrices. Le soir, cette voyageuse glissait ses carnets parfumés sous l’oreiller de la petite‑fille et murmurait :

« Le monde est un jardin ; cueille ses plus belles fleurs pour tes cheveux. »

De cette transmission simple et précieuse est née notre maison.

De l’ailleurs aux côtes bretonnes : la science prend le relais

Un siècle plus tard, ces carnets veillent derrière les murs blancs d’un laboratoire dressé face aux embruns bretons. C’est là, sur cette terre de vent et de granit, que nous transposons les intuitions de la voyageuse en formules de pointe.Implanté sur la côte armoricaine, notre laboratoire respire l’air iodé des marées. Le vent chargé d’embruns inspire des formules riches en oligo‑éléments, tandis que les algues récoltées à marée basse rappellent les bains vivifiants qui fascinaient déjà Madame d’Alexis lorsqu’elle arpentait ces mêmes grèves un siècle plus tôt.L’eau, considérée jadis comme un simple diluant, cède la place aux hydrolats biologiques dont elle vantait déjà la vitalité ; les macérats fermentés observés en Asie inspirent aujourd’hui nos complexes de probiotiques ; les bains d’algues qu’elle appréciait sur la côte armoricaine nourrissent nos recherches sur l’acide hyaluronique cationique.Chaque création Madame d’Alexis est ainsi un long courrier : elle fait escale à Grasse pour cueillir sa signature olfactive, puis revient s’ancrer en Bretagne où nous conditionnons chaque Sérum dans un flacon de verre recyclable à pipette, tandis que nos Shampoings, Masques et Scrubs se glissent dans des tubes éco‑conçus, sans sulfates ni silicones, prêts à prolonger le voyage jusque dans votre salle de bain.L’efficacité se mesure sous microscope, mais l’expérience reste celle d’un ailleurs sensoriel : un parfum de fleur d’oranger qui évoque Tanger au crépuscule, une mousse douce comme la brume atlantique, un reflet de brillance qui rappelle la lumière du Bosphore.

Un passeport intime entre poésie et performance

Madame d’Alexis n’est pas une marque : c’est un passeport intime. Un lien entre la poésie des rituels ancestraux et l’exigence scientifique d’aujourd’hui, entre l’infini des horizons et la vérité d’une chevelure saine, libre et intemporelle.